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Salon "Belles Montres": un exemple à suivre



Catherine Faust-Tobiasse et Alain Faust
Rêver ne coûte rien ou presque: 12 euros d'entrée pour découvrir, en un seul lieu et en toutes liberté, les collections et pièces exceptionnelles des grandes maisons de luxe et marques horlogères classiques, des créateurs contemporains et des jeunes labels avant-gardistes, mais aussi des animations, des conférences, une librairie horlogère éphémère, etc.  Le succès croissant du Salon "Belles Montres" à Paris (14 500 visiteurs en 2011) prouve l'intérêt d'un assez large public pour cette formule lancée en 2006 par Catherine Faust-Tobiasse et Alain Faust. Alors que selon une rumeur persistante le Salon International de la Haute Horlogerie de Genève (pour les professionnels) se préparerait à visiter Shangaï, pourquoi pas une édition belge du salon tout public  "Belles montres"?  Certes, Bruxelles (ou Anvers) ce n'est pas Paris. Mais les watchonistas ne manquent pas chez nous, et vu le nombre de grosses fortunes européennes qui affluent dans le Royaume pour goûter à la douceur de son climat fiscal,  cet évènement prestigieux y trouverait sûrement un excellent terreau. En tous cas, l'intérêt du concept n'échappe pas aux agents de marque et grands détaillants belges que j'ai croisés dans les allées du salon parisien. 

Bulgari Papillon Voyageur
"Belles Montres" au Carrousel du Louvre, 99 Rue de Rivoli, Paris (1). de 10h à 19h, jusqu'au dimanche 25 novembre.  Plus d'infos: www.bellesmontres.fr

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