Pour le sympathique « fou volant » Franky Zapata, la seconde fois aura donc été la bonne. 110 ans après Louis Blériot, il a traversé la Manche ce dimanche matin sur son Flyboard à réaction. Et comme son illustre prédécesseur, il portait une montre Zenith…
Franky Zapata devant le Blériot XI avec lequel le pionnier de l'aviation avait traversé la Manche en 1909 |
Zenith Type 20 Chronograph Adventure |
À l’instar de Blériot, dont les tentatives précédentes lui avaient valu le surnom de « casseur de bois » avant de réussir avant à traverser la Manche en 1909, chaque vol permet à Franky Zapata d’améliorer son engin et constitue un pas de plus vers l’accomplissement de son projet. Né à Marseille en 1978, entrepreneur, inventeur, athlète de haut niveau et pilote, Franky Zapata rêvait initialement de voler sur l'eau. Les prouesses athlétiques de Zapata s'accompagnent d'un esprit de pionnier indomptable et d'un engagement inébranlable à aider les amateurs de sensations fortes et les citadins à atteindre les étoiles.
Le rêve d’Icare
Le Flyboard Air de Franky Zapata |
L'approche unique et innovante de Zapata en matière de vol personnel fut découverte par le grand public à l’occasion d’une participation remarquée au dernier défilé du 14 juillet à Paris. Capable de décollage et d'atterrissage vertical (VTOL) et d'une mobilité individuelle sans précédent, le Flyboard Air à réaction est doté de la plate-forme technologique Zapata©, réputée pour être le système d'aviation personnelle le plus sûr, le plus facile, le plus léger et le plus maniable jamais créé. Aujourd'hui à peine plus volumineux qu'un gros drone, et piloté par "transfert de masse", comme un Segway, le Flyboard Air est propulsé par cinq mini-réacteurs alimentés par du kérosène contenu dans un sac à dos : une quarantaine de litres, permettant une dizaine de minutes de vol avant d'être ravitaillé. C’est lors de cette phase, qui devait intervenir ici sur le pont d’un bateau, que l’aventure avait prématurément pris fin le 25 juillet dernier. A la veille de sa nouvelle tentative, un journaliste avait demandé à Zapata comment il réagirait à un nouvel échec. «Je serai le plus grand looser du monde » avait-il répondu en riant. La suite a démontré que perdre n’était pas dans ses gènes.
INFOS: Zenith
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© Patrick Delaroche
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