Pas du 100%, car François Aubry le reconnaît volontiers : « on ne sait jamais d’où peut provenir une petite vis ». Pour le reste son ambition en créant sa marque de montres était de dépasser largement les 60% de la nouvelle norme Swiss made, ce qu’il fait. Rencontre avec l’un des derniers défenseurs de l’orthodoxie horlogère suisse.
Dans les couloirs du temps en suivant Patrick Delaroche