N'y voyez aucun mauvais esprit de ma part, mais ceci est la première chose que les journalistes ont découvert en arrivant lundi dernier au Salon de la Haute Horlogerie de Genève. Dans un climat déjà plombé par la brutale surévaluation du franc suisse et le ralentissement des ventes sur des marchés importants, l'association involontaire du luxe horloger avec un bateau qui coule faisait un peu désordre. On aurait cru, vu le nombre importants de "communicants" qui circulent sur ce salon que l'un d'eux au moins! aurait pris l'initiative de faire retirer l'affiche du Titanic. Mais pas du tout, elle est restée là jusqu'à la fin! Il est vrai que peu de patrons de marques et d'organisateurs empruntent cette entrée réservée à ceux que l'on transporte en bus...
N'y voyez aucun mauvais esprit de ma part, mais ceci est la première chose que les journalistes ont découvert en arrivant lundi dernier au Salon de la Haute Horlogerie de Genève. Dans un climat déjà plombé par la brutale surévaluation du franc suisse et le ralentissement des ventes sur des marchés importants, l'association involontaire du luxe horloger avec un bateau qui coule faisait un peu désordre. On aurait cru, vu le nombre importants de "communicants" qui circulent sur ce salon que l'un d'eux au moins! aurait pris l'initiative de faire retirer l'affiche du Titanic. Mais pas du tout, elle est restée là jusqu'à la fin! Il est vrai que peu de patrons de marques et d'organisateurs empruntent cette entrée réservée à ceux que l'on transporte en bus...
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